Belle édition de la Damazanaise qui sera bientôt dans le WorldTour. En effet presque tout le gratin était présent :
Alain et Françoise, Alain et Dany, P'tit Louis et Yolande, Christian et Pascale, Berny et Martine, Michel et Monique, Thierry B
Philippe C, Régis, Claude, Christophe, Nicolas, Pierre F., Jean-Marie, Guillaume (fraîchement recruté), Patxi, Patrice F. ,
Marie, Martin et ma pomme (Ben)
Météo sans le moindre nuage, un peu frais au début mais montée rapide en température grâce au soleil et au côtes omniprésentes. En effet pas beaucoup de plat sur le parcours au grand regret de Berny qui préfère envoyer de la braquasse quand ça monte à plat. Alain et Françoise ont fait une bonne partie du circuit avec le gros du peloton, roulant régulièrement mais sûrement. Rien ne sert de courir ...
La première boucle du parcours passait par le château de Buzet, l'incontournable Xaintrailles, Vianne, Lavardac, Xaintrailles (incontournable je vous l'ai dit), Ambrus, Caubeyre et retour par Damazan. Tout ça par des petites routes sinueuses et désertées par les véhicules à moteur.
Thierry, Patrice et Claude décidèrent de regagner les voitures, considérant que bon, la musette était pleine.
Le reste du peloton continua direction Aiguillon pour découvrir l'autre rive de la Garonne. Le vent s'était levé et s'ajouta aux difficultés. Tout le monde attendait la fameuse friandise de 2 km à 10/12%. L'heure tardive nous contraint d'éviter deux côtes que certains aurait qualifié de "sans intérêt". La longue montée jusqu'à Gallapian vent de face étira le groupe avant de redescendre sur Port Sainte Marie. Puis arriva cette redoutable "bugne" que chacun a eu le temps de déguster. Une dernière côte pour remonter sur les coteaux dominant la Garonne d'où l'on pouvait voir au loin le château de Buzet mais je ne suis pas certain que tout le monde ait eu la lucidité d'apprécier le paysage.
Retour par une longue ligne droite et dépourvue de relief jusqu'à Damazan où Régis emmena Philippe sur un plateau pour un panneau pourtant promis à Berny et ses 40 ans de bonheur avec Martine.
De leur côté, les marcheurs avaient découvert Nérac, ville chère à Henri IV, et sa promenade le long de la Baïse où notre bon roi précipita dans le désespoir la pauvre Fleurette qui s'en été laissé conter (véritable origine de l'expression "conter fleurette").
De retour au bord du lac, nos épouses surveillées par P'tit Louis avaient mis en place une grande tablée digne des repas d'Henri IV.
Nous avons dégusté la bière bien méritée suivie d'un apéritif offert par les Moreau pour cause de noces d'émeraude et des plateaux de victuailles préparés par le petit traiteur local. Le tout arrosé de Buzet de toutes les couleurs.
Un grand merci en premier à Marie qui a su gérer beaucoup de choses pour faire plaisir à tout le monde, aux Brissons sans lesquels le rosé n'aurait pas été bien frais, et à toutes et tous pour votre participation active.
A l'année prochaine
Marie et Benoît
Alain et Françoise, Alain et Dany, P'tit Louis et Yolande, Christian et Pascale, Berny et Martine, Michel et Monique, Thierry B
Philippe C, Régis, Claude, Christophe, Nicolas, Pierre F., Jean-Marie, Guillaume (fraîchement recruté), Patxi, Patrice F. ,
Marie, Martin et ma pomme (Ben)
Météo sans le moindre nuage, un peu frais au début mais montée rapide en température grâce au soleil et au côtes omniprésentes. En effet pas beaucoup de plat sur le parcours au grand regret de Berny qui préfère envoyer de la braquasse quand ça monte à plat. Alain et Françoise ont fait une bonne partie du circuit avec le gros du peloton, roulant régulièrement mais sûrement. Rien ne sert de courir ...
La première boucle du parcours passait par le château de Buzet, l'incontournable Xaintrailles, Vianne, Lavardac, Xaintrailles (incontournable je vous l'ai dit), Ambrus, Caubeyre et retour par Damazan. Tout ça par des petites routes sinueuses et désertées par les véhicules à moteur.
Thierry, Patrice et Claude décidèrent de regagner les voitures, considérant que bon, la musette était pleine.
Le reste du peloton continua direction Aiguillon pour découvrir l'autre rive de la Garonne. Le vent s'était levé et s'ajouta aux difficultés. Tout le monde attendait la fameuse friandise de 2 km à 10/12%. L'heure tardive nous contraint d'éviter deux côtes que certains aurait qualifié de "sans intérêt". La longue montée jusqu'à Gallapian vent de face étira le groupe avant de redescendre sur Port Sainte Marie. Puis arriva cette redoutable "bugne" que chacun a eu le temps de déguster. Une dernière côte pour remonter sur les coteaux dominant la Garonne d'où l'on pouvait voir au loin le château de Buzet mais je ne suis pas certain que tout le monde ait eu la lucidité d'apprécier le paysage.
Retour par une longue ligne droite et dépourvue de relief jusqu'à Damazan où Régis emmena Philippe sur un plateau pour un panneau pourtant promis à Berny et ses 40 ans de bonheur avec Martine.
De leur côté, les marcheurs avaient découvert Nérac, ville chère à Henri IV, et sa promenade le long de la Baïse où notre bon roi précipita dans le désespoir la pauvre Fleurette qui s'en été laissé conter (véritable origine de l'expression "conter fleurette").
De retour au bord du lac, nos épouses surveillées par P'tit Louis avaient mis en place une grande tablée digne des repas d'Henri IV.
Nous avons dégusté la bière bien méritée suivie d'un apéritif offert par les Moreau pour cause de noces d'émeraude et des plateaux de victuailles préparés par le petit traiteur local. Le tout arrosé de Buzet de toutes les couleurs.
Un grand merci en premier à Marie qui a su gérer beaucoup de choses pour faire plaisir à tout le monde, aux Brissons sans lesquels le rosé n'aurait pas été bien frais, et à toutes et tous pour votre participation active.
A l'année prochaine
Marie et Benoît