Bonjour à toutes et tous
En début de semaine, voyant que la météo était clémente pour le week-end, je décidais d'appeler Dany et Alain R. pour partir dès le jeudi matin
Notre Président et son épouse "toujours partants", nous voilà sur la route dès 7 H 00.
Jeudi matin
9 H 45 départ en vélo avec Alain pour reconnaître la totalité du parcours soit 127 kms et presque 1900 m de dénivelé, découvrir et réserver le restaurant "La Cantine" au sommet du Col d'Ispeguy.
Journée super et je retiens la phrase d'Alain : "ça va leur plaire".
Vendredi fin d'après-midi :
Tous les participants du week-end arrivent - pour certains c'est leur première fois et ils découvrent non seulement la chambre d'hôtes, mais surtout Michel et Vivianne nos gentils hôtes.
Bien entendu, quand on est au Pays-Basque, rien de tel que d'aller voir jouer Michel à la pala à Urrugne, suivi d'un dîner sur les tonneaux à déguster différents plats (les tapas traditionnelles, mais également foie gras frais, et côtes de boeuf) avec vin à discrétion....
Samedi matin
9 H 00 tous les participants du samedi sont arrivés et prêts.
Temps parfait malgré un petit vent du sud.
14 cyclistes regroupés autour d'une poële immense pour la traditionnelle photo.
Après la traversée de Ciboure, vue magnifique sur la baie de St Jean de Luz - 10 km de plat, tranquilles pour attaquer les premières difficultés : col de St Ignace.
Didier qui "aurait fait des excès" vendredi soir, me demande de se faire mal pour éliminer quelques "toxines".
Derrière deux groupes se forment et tout le monde se regroupe avant de basculer sur le village de Sare.
Deuxième difficulté : Col Oxondo - 10 km à 7 %
Pas de problème particulier sauf un mauvais réglage du dérailleur de Thierry P. qui l'empêchera de suivre les meilleurs.
Problème résolu car notre "super mécanoBen" fit des merveilles au sommet du Col.
Troisième difficulté : Ispéguy pour ma part le plus joli col du Pays Basque.
Début de l'ascension groupés, allure tranquille, quand 3 cyclos sortis de nulle part nous doublent et pour une fois, nous disent Bonjour.
Tout allait très bien, mais ce n'était pas l'avis de Didier, qui désirait toujours éliminer ses toxines. Démarrage de la locomotive Didier, et dans le wagon qui suit : Ben (déformation professionnelle)
Pendant ce temps, chacun montait à son rythme.
12 H 30 : mission accomplie pour tous - Didier a tout fait pêter - mention spéciale du 100 m lancé dans la montée pour Jean François grâce à un nid de frelons asiatiques éclaté au milieu de la route.
Déjeuner à la "Cantine" entrée - plat - dessert (copieux le déjeuner) bière, vin rouge et le "rogé" (rosé) certains comprendront, sans oublier le cidre (renversé par Mika sur la table !!)
Descente magnifique du col d'Ispeguy
Après quelques kilomètres de plat pour digérer, plus de cols mais des bosses "sans intérêt" de 14/15 %.
Retour par Espelette groupé avec un rythme soutenu avec des relais par des gars qui ont l'habitude de bien tirer et surprise notre Jean François (sans sac à dos mais avec un super cuissard) en faisait partie.
Après une petite douche, tout le monde se retrouve autour d'une bière.
Et pendant ce temps, que faisaient les féminines ?
Martine avait prévu une petite rando au départ de la chapelle d'Olhette (pas longue, pas de dénivelé) et un déjeuner en montagne dans une venta. Mais c'était sans compter sur les problèmes d'orientation de Martine qui avait déjà fait marcher les féminines beaucoup plus que prévu à Germ.
Arrivées à un croisement, la signalétique ENORME sur le mur nous signale qu'il faut tourner à gauche pour suivre le GR10.Ça monte, ça monte, et toujours pas de venta en vue.
Au bout d'un certain temps, nous débouchons sur une vue magnifique dominant toute la baie, où se trouvent une quarantaine de personnes qui vont déjeuner à une venta (rien à voir avec celle prévue).
Sylvie vérifie sur son portable, mais la venta dont Martine a la carte sur elle, n'est pas signalée sur notre trajet. Afin de ne pas continuer à monter, sans savoir si nous allons pouvoir déjeuner, Sylvie téléphone à la venta où se dirigent les quarante personnes. Pas de problème, ils nous gardent une table.
Et encore une belle montée (elles vont me haïr les copines). Un vent du sud nous attend au sommet.
Martine se reconnait. Elle est venue déjeuner avec Berni lorsqu'ils font le grand tour de la Rhune
Une bonne sangria va nous revigorer, ainsi qu'un petit plat et un riz au lait (et oui, on a fait light les filles).
Bien reposées, nous repartons.Comme on sait, les filles ne font que parler. Et vlan, nous avons oublié de tourner (heureusement on aura que quelques centaines de mètres à remonter). oui, c'est la faute à Patrick Bruel et ses massagesCette belle journée s'est terminée par un repas préparé par Michel pour 420 personnes (gigantesque paëlla très copieuse) dans le fronton d'Hendaye autour de bandas et chants basques.
Quant au dimanche balade ventée au sommet du Col des Palombes (pas de passages car trop de vent) beau temps, et un apéritif dinatoire offert par Michel.
Nous remercions tous les participants et vous disons à l'année prochaine.
Berni et Martine
En début de semaine, voyant que la météo était clémente pour le week-end, je décidais d'appeler Dany et Alain R. pour partir dès le jeudi matin
Notre Président et son épouse "toujours partants", nous voilà sur la route dès 7 H 00.
Jeudi matin
9 H 45 départ en vélo avec Alain pour reconnaître la totalité du parcours soit 127 kms et presque 1900 m de dénivelé, découvrir et réserver le restaurant "La Cantine" au sommet du Col d'Ispeguy.
Journée super et je retiens la phrase d'Alain : "ça va leur plaire".
Vendredi fin d'après-midi :
Tous les participants du week-end arrivent - pour certains c'est leur première fois et ils découvrent non seulement la chambre d'hôtes, mais surtout Michel et Vivianne nos gentils hôtes.
Bien entendu, quand on est au Pays-Basque, rien de tel que d'aller voir jouer Michel à la pala à Urrugne, suivi d'un dîner sur les tonneaux à déguster différents plats (les tapas traditionnelles, mais également foie gras frais, et côtes de boeuf) avec vin à discrétion....
Samedi matin
9 H 00 tous les participants du samedi sont arrivés et prêts.
Temps parfait malgré un petit vent du sud.
14 cyclistes regroupés autour d'une poële immense pour la traditionnelle photo.
Après la traversée de Ciboure, vue magnifique sur la baie de St Jean de Luz - 10 km de plat, tranquilles pour attaquer les premières difficultés : col de St Ignace.
Didier qui "aurait fait des excès" vendredi soir, me demande de se faire mal pour éliminer quelques "toxines".
Derrière deux groupes se forment et tout le monde se regroupe avant de basculer sur le village de Sare.
Deuxième difficulté : Col Oxondo - 10 km à 7 %
Pas de problème particulier sauf un mauvais réglage du dérailleur de Thierry P. qui l'empêchera de suivre les meilleurs.
Problème résolu car notre "super mécanoBen" fit des merveilles au sommet du Col.
Troisième difficulté : Ispéguy pour ma part le plus joli col du Pays Basque.
Début de l'ascension groupés, allure tranquille, quand 3 cyclos sortis de nulle part nous doublent et pour une fois, nous disent Bonjour.
Tout allait très bien, mais ce n'était pas l'avis de Didier, qui désirait toujours éliminer ses toxines. Démarrage de la locomotive Didier, et dans le wagon qui suit : Ben (déformation professionnelle)
Pendant ce temps, chacun montait à son rythme.
12 H 30 : mission accomplie pour tous - Didier a tout fait pêter - mention spéciale du 100 m lancé dans la montée pour Jean François grâce à un nid de frelons asiatiques éclaté au milieu de la route.
Déjeuner à la "Cantine" entrée - plat - dessert (copieux le déjeuner) bière, vin rouge et le "rogé" (rosé) certains comprendront, sans oublier le cidre (renversé par Mika sur la table !!)
Descente magnifique du col d'Ispeguy
Après quelques kilomètres de plat pour digérer, plus de cols mais des bosses "sans intérêt" de 14/15 %.
Retour par Espelette groupé avec un rythme soutenu avec des relais par des gars qui ont l'habitude de bien tirer et surprise notre Jean François (sans sac à dos mais avec un super cuissard) en faisait partie.
Après une petite douche, tout le monde se retrouve autour d'une bière.
Et pendant ce temps, que faisaient les féminines ?
Martine avait prévu une petite rando au départ de la chapelle d'Olhette (pas longue, pas de dénivelé) et un déjeuner en montagne dans une venta. Mais c'était sans compter sur les problèmes d'orientation de Martine qui avait déjà fait marcher les féminines beaucoup plus que prévu à Germ.
Arrivées à un croisement, la signalétique ENORME sur le mur nous signale qu'il faut tourner à gauche pour suivre le GR10.Ça monte, ça monte, et toujours pas de venta en vue.
Au bout d'un certain temps, nous débouchons sur une vue magnifique dominant toute la baie, où se trouvent une quarantaine de personnes qui vont déjeuner à une venta (rien à voir avec celle prévue).
Sylvie vérifie sur son portable, mais la venta dont Martine a la carte sur elle, n'est pas signalée sur notre trajet. Afin de ne pas continuer à monter, sans savoir si nous allons pouvoir déjeuner, Sylvie téléphone à la venta où se dirigent les quarante personnes. Pas de problème, ils nous gardent une table.
Et encore une belle montée (elles vont me haïr les copines). Un vent du sud nous attend au sommet.
Martine se reconnait. Elle est venue déjeuner avec Berni lorsqu'ils font le grand tour de la Rhune
Une bonne sangria va nous revigorer, ainsi qu'un petit plat et un riz au lait (et oui, on a fait light les filles).
Bien reposées, nous repartons.Comme on sait, les filles ne font que parler. Et vlan, nous avons oublié de tourner (heureusement on aura que quelques centaines de mètres à remonter). oui, c'est la faute à Patrick Bruel et ses massagesCette belle journée s'est terminée par un repas préparé par Michel pour 420 personnes (gigantesque paëlla très copieuse) dans le fronton d'Hendaye autour de bandas et chants basques.
Quant au dimanche balade ventée au sommet du Col des Palombes (pas de passages car trop de vent) beau temps, et un apéritif dinatoire offert par Michel.
Nous remercions tous les participants et vous disons à l'année prochaine.
Berni et Martine